Douce soumission

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il y a 4 ans

Je ne m’étais jamais fait à l’idée d’écrire un jour une histoire érotique et partager un peu de mon expérience, mais il faut un début à tout. je n’ai jamais raconté cela à ma femme de peur qu’elle ne me rejette, alors pourquoi pas ici. Cela c’est passé il y a de cela presque 2 ans.

Pour vous parler un peu de moi, je m’appelle Laurent, j’ai 24 ans. Je suis ingénieur d’affaire, marié depuis peu et plutôt ouvert. Physiquement, je fais dans les 1m82, 70 kilos dans les bons jours, un air svelte, les cheveux châtains, et les yeux bleus. Je suis plutôt quelqu’un de classique, bonne éducation, tenue BCBG, dandy, Crooner.

Je sais que j’ai un physique qui plait, j’ai travaillé pendant mes années d’étudiant comme modèle pour des défilés de mode, et j’ai eu beaucoup de succès auprès des femmes, des hommes aussi d’ailleurs, mais c’est une autre histoire. peut-être pour une autre fois.

J’étais donc étudiant à Paris, et au cours de la dernière année j’ai reçu un mail d’un assistant d’un de mes professeurs, me demandant de venir le voir pour je ne sais quel problème concernant un de mes examens. Je le rejoins donc dans son bureau, on discute, le problème est vite résolu. l’assistant en question, un certain Pierre, est en l’occurrence quelqu’un de très jovial et sympathique. on s’est toujours bien entendu. Il doit avoir juste la trentaine, un peu plus petit que moi, le visage souriant, les cheveux bruns, et un corps sportif, musclé et soigné. un homme que je qualifierai d’attirant, sans pour autant avoir d’attirance pour les hommes.

On discute quelques instants, et vers la fin de notre échange, prétextant je ne sais quel raison, il me demande mon numéro de téléphone. Mais sans arrière pensée aucune. du moins c’est ce qu’il me semblait.

La semaine passe. Le samedi, dans la soirée, je me retrouve chez moi, et je reçois un coup de téléphone d’un appelant inconnu. Une certaine Anne, qui d’une voix chaude et charmante me demande si je suis libre le soir même. Elle m’a, me dit-elle, remarqué dans les couloirs de l’université et serait ravie de me connaître plus. Flatté, je lui réponds que je suis disponible, lui demande si je la connais : « tu ne me connais pas non, mais je crois être suffisamment sexy pour te convenir » telle fut sa réponse. qui me cloua sur place.

Elle avait pris une voix plus sensuelle et en même temps plus autoritaire.. et j’aimais ça. cette conversation m’excitait. on se fixait donc rendez vous vers 23h, dans un café place de l’Odéon. Avant de raccrocher, je lui demandais comment je la reconnaîtrai. elle me dit « habille toi avec un pantalon clair, souple, la chemise bleue qui te va si bien, un pull léger beige, et attends moi à une table isolée, quand tu y sera je te rappellerai » et elle raccroche. excité par ces derniers mots, j’attendis impatiemment 22h, m’habillait comme demandé et me rendit tranquillement au café en question.

Là j’attendis une bonne demi-heure assis à une table à la fenêtre, à regarder les passantes, à espérer, à détailler chaque femme qui entrait dans la pièce. et plus le temps passait, plus je m’impatientait et plus je la désirais aussi. Vers 23h30 mon téléphone sonna, toujours ce numéro inconnu. c’était elle : « Alors Laurent, tu attends non ? Tu m’attends impatiemment. tu t’excites, tu as chaud, et tu t’énerves ?

– euh non, je. j’attends, c’est tout .tu

– ne me tutoies pas, tu ne me connais même pas, à partir de maintenant tu m’appellera maîtresse tu m’as bien compris.

– euh oui.. je

– Oui maîtresse.

– Oui maîtresse.

La situation devenait de plus en plus excitante. Moi qui était plus habitué à être l’homme, le macho, le dragueur, le tombeur de femmes, je me retrouvais à obéir à une femme à la voix sensuelle, et que je n’avais encore jamais vu.

– Maintenant tu vas terminer tranquillement ton verre, remonter la rue et te rendre à telle adresse.. tu vas y aller à pied, et lentement. Au coin de l’immeuble, il y a une cabine téléphonique, tu y attendras mon appel, tu m’as comprise ?

– oui.. euh oui maîtresse.

– c’est bien, et ce soir tu fera tout ce que je te dirais tu m’entends ?

La conversation m’excitait de plus en plus, l’idée d’être l’objet d’une femme m’excitait au plus haut point et je sentais déjà l’effet à mon sexe qui se tendait dans mon pantalon de toile.

– oui maîtresse.

– dis moi Laurent, .comment veux tu que je sois habillée pour toi ce soir : noir, rouge ou blanc

– j’hésitais. Rouge maîtresse.

– bien, je vois que tu as du goût. je sens que tu vas me plaire. eh bien dépêche toi si tu ne veux pas rater ta soirée.

Je terminais mon verre, en me f o r ç a nt de ne pas le boire à toute vitesse, il me fallait prendre mon temps avait-elle dit. Je sortis du café et me rendis à l’adresse donnée, à quelques 10 minutes à pied. De temps en temps, je me retournais, essayait de voir si l’on me suivait, si quelqu’un m’observait mais rien.

Arrivé à la cabine téléphonique j’attendis.. les minutes passèrent, une demi heure, et au bout de trois quarts d’heure le téléphone sonna. Je décrochais mais n’entendait rien, seulement une respiration forte, saccadée, chaude. Quelqu’un au bout du fil se masturbait ou s’excitait. puis plus rien. Un quart d’heure passa, et je m’impatientais. je m’excitais puis le téléphone sonna à nouveau, il devait être près d’une heure du matin.

– Alors Laurent. tu m’attends toujours, es-tu toujours prêt à m’être soumis ce soir ?

– oui maîtresse.

– bien c’est comme ça que je t’aime. je me suis habillé comme tu le voulais tu vois. et j’ai hâte de continuer la nuit. maintenant tu vas bien m’écouter : tu vas aller dans la petite impasse sombre qui est derrière toi, au fond il y a un lampadaire, tu vas te tourner face au numéro 10 et là tu vas ouvrir ton pantalon sortir ton sexe et te branler. doucement, très doucement, et je ne veux pas que tu éjacules. Tu m’entends. je veux voir ton sexe. Tu regarderas ton sexe et nulle part ailleurs . ensuite tu reviendra dans cette cabine. ne me désobéis pas. as-tu bien compris ?

– oui maîtresse. » elle avait déjà raccroché.

Je suis sorti de la cabine. un peu stressé de devoir sortir mon sexe en pleine rue, et à l’idée que quelqu’un puisse passer. Mais ma peur fut effacée par l’excitation de ce qui se passait.

J’ai marché jusqu’au bout de la rue, me suis placé sous l’unique lampadaire, face au numéro 10 comme elle me l’avait demandé. j’ai ouvert mon pantalon, et ait sorti mon sexe. mon pénis est de taille convenable, quelques 20 cm et une diamètre assez épais, ce qui plait surtout c’est qu’il est droit et bien taillé, le gland rond et saillant, ce qui procure assez de plaisir lors de la pénétration. je sortis donc mon sexe qui était déjà bien excité par la situation et commençais à le caresser, je remontais jusqu’au bout, et redescendait bien à la base pour le monter en entier. j’avais peur que quelqu’un passe dans la rue, j’écoutais attentivement tous les bruit alentours, et essayait du coin de l’oeil de regarder les fenêtres des immeubles autours. aucune fenêtre n’était allumée. je restait là 5 bonnes minutes à me masturber doucement puis suis retourné à la cabine. Là encore une demi heure d’heure passa puis elle appela à nouveau.

« c’est bien, ça me plait mon petit Laurent. Maintenant viens le plus difficile. si tu me veux, il va te falloir faire tout ce que je te demande. sans exception. es-tu prêt ? les longues minutes à attendre dehors sans pouvoir l’appeler sans pouvoir rien faire, cloué par le désir avaient déjà éteint en moi toute rébellion, et m’avaient doucement amené à cet état de soumission qu’elle semblait attendre de moi.

– oui maîtresse.

– je veux t’entendre dire que tu m’es soumis, que tu feras tout ce que je te demande ?

J’étais un peu gêné par la situation, et surtout pas habitué à ce genre de rôle, mais je sentais à l’excitation de mon sexe, que j’aimais cela et que j’aimerai encore plus la suite si j’obéissait.

– oui maîtresse, je vous suis soumis et je ferai tout ce que vous voudrez. ma voix était hésitante mais je pense assez convaincante pour qu’elle continue.

– très bien. maintenant. tu vas attendre qu’il soit 2 heures sans regarder une seule fois dans l’impasse, à deux heures précises, tu vas venir devant la porte du numéro 10, tu vas te déshabiller entièrement. plus un seul vêtement. et là tu entrera dans le hall, la porte est ouverte. tu montera au deuxième étage. et tu te mettra à genoux devant la porte et tu frapperas doucement. Tu as compris jusque là ?

– oui.

– oui qui :

– oui maîtresse. j’ai compris. la demande était étrange, mais vu l’heure peu risquée.

– ensuite viens le plus difficile, mais je veux que tu fasses tout comme je te le dis, sinon tu ne me verras même pas. et tu auras attendu plus de 3heures pour rien. Tu es mon objet maintenant, et tu m’obéis.

– oui maîtresse.

– oui quoi ?

– oui je suis votre objet.

– très bien. quelqu’un ouvrira la porte, c’est un homme. quand il te verra, tu te lèveras, sans dire un seul mot. je ne veux pas que tu dise un seul mot tu m’entends ? tu fermeras la porte, l’emmèneras sur le lit et le déshabilleras.

– pardon ? un homme mais.

– tais toi quand je parle, tu m’obéis entendu..

– je.... oui maîtresse.

L’idée de déshabiller un homme m’était toute nouvelle, je n’avais eu que des relations avec des femmes jusque là. avait été souvent dragué par des hommes, certains mignon même, et cela ne m’avait pas gêné, plutôt flatté. mais je n’étais jamais allé plus loin que le sourire. là j’allais être nu en face d’un homme, et je devrais le déshabiller. tout dépendait de l’homme, mais pourquoi pas, je voulais voir ou elle voulait en venir.

– très bien. tu le jetteras sur le lit, et sans un mot lui feras comprendre que tu veux qu’il te suce. tu seras dominateur, maître de lui. Sans b r u t a l i t é mais autorité tu lui mettras ton sexe dans la bouche. et vous ferez l’amour. Je veux que tu le sodomises, qu’il te suce, je veux que tu le suces aussi, et je veux que tu lui éjacules sur le torse. tout cela sans un mot tu m’entends ? si tu dis un seul mot, si tu n’es pas maître de la situation, il ne se passera rien ensuite. Obéis moi, et tu verras que la suite te plaira. c’est compris mon petit Laurent ? pas un mot.

– Oui maîtresse. » et elle raccrocha de nouveau.

Entendre ces paroles de la bouche d’une femme érotisait tout, donnait un caractère extrêmement excitant, sexuel, et obsédant à la situation. Je n’avais jamais eu le moindre rapport sexuel avec un homme, et là j’allais devoir le dominer, le pénétrer, le sucer et diriger les ébats. Il faut avouer que le sexe d’un homme m’a toujours paru excitant, magnifique. et que j’adorais lors de fellation me faire caresser et titiller l’anus, sans vouloir accepter que ça m’excitait.

Là j’avais un peu peur, mais j’étais finalement énormément excité par tout cela.. le stress laissait place à un désir sexuel intense. mon sexe se tendait dans mon pantalon, et j’avais déjà envie d’y être. qu’allait il se passer ensuite ? qu’allait-elle faire ? et si l’homme était vieux et laid, pervers ou pire encore. ou j’allais ? Je n’étais pas particulièrement libertin, je ne connaissait rien de cette femme, de son monde, de cette rue, de ces gens ? J’était totalement inconscient finalement, mais entièrement obsédé, fasciné, envoûté par cette voix sensuelle et autoritaire, impatient de ce qui allait arriver et mon excitation était très intense. Et plus les minutes passait, plus elle allait en intensité.

À deux heures précises, comme elle me l’avait demandé, je me rendis au fond de l’impasse, après avoir vérifié que la rue était bien vide, je me suis rapidement déshabillé, et suis rentré dans l’immeuble, la porte d’entrée était effectivement entrouverte. Je suis monté au deuxième, et comme demandé, me suis agenouillé, nu devant la porte . La porte d’un appartement que je ne connaissait pas. J’hésitait à frapper. je me sentais ridicule, nu devant cette porte. en pleine nuit dans un immeuble que je ne connaissait pas, à frapper à la porte d’un homme que je ne connaissais pas et que je devais baiser avec domination et sans pouvoir donner d’explication.

Je frappais, quelques minutes de silence. Je frappais à nouveau.. puis des bruits de pas, un tour de clef, et la porte s’ouvrit.

C’était Pierre, l’assistant de l’Université, en caleçon devant la porte !!!

Je le regardais ébahi. Je faillis mourir de honte devant sa porte. est-ce que s’était un traquenard ? Une mauvaise blague pour me ridiculiser devant le professeur. Je pensais vite, essayait de réfléchir mais ne trouvais aucune solution. je ne voulais même pas parler.

Il avait l’air aussi étonné que moi finalement, passé la surprise il sourit, d’un sourire entendu. et je compris que ça n’étais pas la mauvaise blague que je croyais.

« Bonjour Laurent. euh.. longue nuit ? »

Me rappelant les indications de ma maîtresse, je me ressaisis, ne dis rien, pris mon courage à deux mains.. après tout il était plutôt bel homme en étant objectif. et me levais, entra dans la chambre et le poussant vers le lit. Il sourit, ne dit rien, je le jetais sur son lit, lui enlevais son caleçon assez hésitant…. Il me regardais, souriant, et vu son sexe il semblait apprécier de me voir dans cette situation soumis et dominant.

Il avait un beau sexe, plus fin mais plus grand que le mien, et en pleine érection. Je me sentais bizarre, nu devant un homme que je côtoyais tous les jours, nu lui aussi et avec cette belle queue en érection. Je vis que je bandais aussi. Je me suis finalement agenouillé sur le lit, il me caressait la cuisse.. c’était étrange.. cette main d’homme sur ma cuisse, ce regard vicieux chaud et sympathique, plein d’envie qui me regardait. J’hésitais encore un instant puis lui pris la tête et l’amena vers mon sexe.

Directif mais pas brutal. tels étaient les ordres.

Il comprit tout de suite, et prit mon sexe dans sa bouche.. jusqu’a la garde. Il se mit à me sucer doucement puis de plus en plus fort, en me caressant les bourses d’une main, et l’anus de ses doigts salivés d’une autre.. Il était doué et mais apparemment pas habitué à ce genre de chose. j’aimais ça. beaucoup même. surtout de voir son sexe, tendu, excité au maximum qui se frottais contre ma jambe quand il me suçais.. Je voyais ses lèvres pleines de salive remonter le long de mon membre, sa langue qui caressait mon gland, et son regard. Avide qui me scrutait. j’adorais ses doigt qui caressaient mon anus, c’était nouveau mais très sexuel très sensuel.

Je lui pris la tête et f o r ç a is mon pénis jusqu’au fond de sa gorge. Au bout de 10 minutes d’une fellation inoubliable je le repoussais sur le lit, et dans un élan sexuel que je ne pourrais pas expliquer, lui prit son sexe, et le mis à le lécher doucement. Il souriait encore, il était assis et gémissait de plaisir en me caressant les fesses. je devais garder le contrôle, je le repoussais avec f o r c e et autorité, le regardais le plus durement possible. Il souriait encore et se laissait faire… je me remis à lui lécher le gland.. en tournant autour avec la langue. C’était nouveau. étrange. agréable. l’idée que je tenais un pénis dans ma bouche et donnais du plaisir à un homme m’excitais au maximum.

Je me mis à le sucer du mieux que je pus, en faisant tout ce que j’aimais dans une fellation. je lui léchait les bourses avidement, lui malaxais ses belles petites fesses avec f o r c e , et enfonçais son sexe toujours plus profond. quitte parfois à avoir des hauts le cours.. mais je le voulais se sexe.

Il était long, bien droit, magnifique, et je bandais de plaisir. j’accélérait de plus en plus mes mouvements qu’il rythmais des anches pour plus d’amplitude. je lui serrais les fesses et m’enfonçais jusqu’à la glotte autour de son sexe. de plus en plus vite. en caressant son anus avec mes doigts pleins de salive. je mis un doigt dans son anus. puis continuais, puis deux. puis trois. à chaque nouvelle étape il se cabrait de plaisir. et à un moment je sentis qu’il était près d’éjaculer .. je continuais encore un peu.. doucement et puis le repoussait. Je savais par expérience combien c’était horrible d’arrêter à ce moment là. mais combien c’était excitant aussi. il haletais, mourait d’envie, ses yeux pétillais d’excitation, et je sentais l’odeur forte de sa transpiration. Une odeur d’homme, nouvelle pour moi mais si excitante. Il étais sur le dos. je me relevais, lui écartais les jambes et comme si je l’avais toujours fait le pénétrais d’une seul mouvement rapide et brutal.

Il faillit crier de douleur.. il ferma les yeux.. je ne bougeais pas. je venais de réaliser ce que je faisait.. je venais de pénétrer un homme, de le sodomiser, je voyais ma bite dans son anus, et lui jambes écartées, le sexe tendu érigé devant moi.. quand il rouvrit les yeux ils pétillaient encore plus de désir. Je me mis à le laminer, par des vas et viens rapide comme je ne l’avais jamais fait. Je baisais un homme et j’adorais ça. Je le travaillais le plus vite possible, presque v i o l emment, et mon désir au maximum. me rappelant les ordres de ma maîtresse, je sortis et éclatait littéralement de plaisir. Je lui éjaculais au visage et sur le torse. Il gémissait de plaisir. il se léchait les mains pleines de mon sperme qu’il venait de récolter sur sa joue et son torse.

Je me baissais lui pris le sexe, et me mit à le sucer avidement.. avec fureur. il en fut pas long, quelques secondes après je reçus un flot de sperme au fond de la bouche. et sans me rendre compte l’avalais et me mis à lécher les restes sur son sexe. à ce moment je sus que j’étais vraiment devenu le soumis, l’objet sexuel du désir de cette femme que je ne connaissais pas. J’étais allé pour cette voix inconnue plus loin que je n’étais jamais allée..

Il me regardait. le visage fatigué et ravi. Les yeux pleins de remerciement et de désirs et me dit : « c’était la première fois.. » je voulais lui répondre que moi aussi mais me retins au dernier moment.

« maintenant il faut attendre me dit-il. elle est capricieuse. »

Bien évidemment donc il savait. Il se coucha sur le coté et ferma les yeux. je m’assis sur le bord du lit et attendit. L’attente fut longue. presque une heure. puis la porte s’ouvrit.

Une femme entra. Elle était habillée d’un long manteau beige comme celui de colombo. Elle devait avoir la trentaine aussi, les cheveux brun-noir longs, de grands yeux verts.et devait faire dans les 1m75 je dirais. elle n’était pas f o r c é ment belle, mais d’elle se dégageait une autorité sensuelle qu’avait augmenté mon fantasme. Elle me regarda.. regarda Pierre allongé nu sur le lit. Aucun de nous ne fit un mouvement. Elle s’avança vers nous et dit : « Alors mes petits esclaves, on a fait des cochonneries, on est fatigué ? Mais ce n’est que le début. Pierre, viens m’enlever mon manteau. toi tu ne bouges pas. »

Pierre se leva, vint verre elle, voulu lui enlever son manteau, mais elle l’arrêta, le mis à genoux, et lui demanda de le faire avec les dents. En dessous, elle portait de longs bas résille noirs, avec des portes jarretelles et des dessous rouge.. fins et délicats. Elle avait de belles jambes, de belles hanches plutôt larges, et de magnifiques seins.. du C je dirais, mais qui semblaient fermes et ronds. une nuque très féminine, et de beaux bras dessinés.

elle une fois son manteau enlevé, elle repoussa Pierre du pied, et vint vers moi. Elle m’allongea sur le lit. sur le dos, retira son string et vint s’agenouiller au dessus de ma tête. « ne bouge pas dit-elle » elle se caressait à 5cm de mon visage et je voyais son sexe s’humidifier au fur et à mesure des caresses. puis une fois la chatte bien humide, et se baissât et l’appuya fortement contre mon visage. Elle bougeait pour me couvrir de sa sécrétion, puis me dit sèchement « Lèche petit vicieux »

Elle me prit les mains, les mis sur ces fesses fermes et appuya plus fortement sur ma bouche. je me mis à la lécher goulûment, à tourner autour de son clitoris tendu et rouge d’excitation. Elle enleva son soutient gorge et se mit à se caresser les seins.

Pierre vint vers elle pour la caresser aussi. Elle lui prit la tête et l’enfonça sur mon sexe qui bandait au maximum. « toi aussi, suce petit pédé ».

J’étais fou d’excitation, lécher la chatte d’une femme qui me contrôlait complètement, et me faire sucer par un homme soumis. je mourrais de bonheur ! Elle coucha ensuite Pierre sur le dos et me demanda de le pénétrer à nouveau. il semblait prendre plaisir à ça, et je le fis sans rechigner. Elle se mit face à moi, les seins devant mon visage et me fit les lécher, puis elle se leva et me dit de continuer sans me retourner. Au bout de quelques minutes, je sentis sa langue lécher mes bourses, puis remonter vers mon anus. qu’elle léchait avec f o r c e de salive, elle enfonçait sa langue dans le trou, et je gémissais de plaisir, je n’arrivais même plus à travailler Pierre qui ondulait pour profiter de mon sexe dans son cul. Et là ce que je m’attendais arriva. je sentis une objet tiède et dur me caresser l’anus, et d’un seul coup un long gode, large s’enfonça dans mes entrailles sans que je puisse m’y préparer.

Je crus m’évanouir de douleur, mon anus me parut totalement exploser, dilaté par cet objet large et long. Mais elle n’y prêta aucune attention, elle avait une ceinture gode autour de la taille, et se mit à faire des vas et viens dans mon anus avec un gode plus long et bien plus large que mon sexe. Les minutes passèrent et la douleur aussi.. c’était chaud, très chaud, et très excitant. je pénétrais un homme et une femme me sodomisait !

Elle continua de plus en plus vite, Pierre se releva et se mit à me sucer en cadence. je jouis en quelques minutes et lui éjaculais un flot abondant de sperme dans la bouche.

Anne se retira, vint vers Pierre et l’embrasse goulûment pour recueillir aussi de mon sperme chaud.. je m’étalais sur le lit, littéralement écartelé, vidé, soumis. mais de les voir boire mon sperme m’excitait encore et mon sexe conserva tout sa f o r c e et sa dureté. allongé sur le dos, Anne vint s’empaler sur mon sexe, et Pierre, m’écartant les jambes vint se placer dans mon anus déjà dilater. Son membre glissa aisément dans mon trou, et c’était fort agréable. bien plus que le gode. Je sentais son gland vibrer dans mon ventre, et Anne, s’exciter sur mon sexe. Elle bougeait vite et se caressait le clitoris en même temps. Puis Pierre sortit, et empala Anne qui ne dit pas un mot. il la travaillait aussi très rapidement et elle se mit à jouir en se cambrant, les muscles tendus, dans un gémissement aigu.

Quelques secondes passèrent en silence. Pierre se retira de son anus. et avec son gland caressa mon trou, puis celui d’Anne, puis le mien à nouveau. Ses vas et viens lents et vicieux nous excitaient chacun voulait se faire sodomiser par se long sexe, et lui passait de l’un à l’autre. Il me prit, d’un coup et s’agita quelques instant puis sortit, puis ce fut le tour d’Anne.. et ainsi de suite. il alternait de l’un à l’autre sans ordre.. parfois deux fois moi, parfois plusieurs fois Anne, et ce petit Jeu nous excitait au plus haut point.

Puis finalement il me prit une dernière fois, Et se mit à me travailler avec ardeur et f o r c e . Anne, se releva, s’agenouilla à nouveau sur ma tête, et se mit à me sucer avec vigueur. Pierre continuait d’aller et venir avec puissance, je léchais Anne qui me suçait. J’étais au comble du plaisir.. et je sentis Pierre se cabrer, gémir et me remplir de sperme par petits jets puissants. Je sentais chaque éjaculation me remplir, et éjacula à mon tour dans la bouche d’Anne qui elle aussi me couvrit presque de mouille et m’enfonça sa chatte sur le nez et la bouche. je ne pouvais pas crier mais crus presque m’évanouir de plaisir.

Ce soir là j’avais été l’objet sexuel d’une femme, et d’un homme. ils avaient fait de moi ce qu’ils voulaient. Ce fut la seule fois que je les rencontrais, et ou je fus pris par un homme et une femme. et je ne l’oublierai jamais. j’espère qu’il y aura une seconde fois. depuis j’attends son appel.

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